clock2
Nintendi DSi [ Nintendo © ]
Page 1 sur 1
Nintendi DSi [ Nintendo © ]
Blanche ou noire, la DSi, nouveau modèle de la portable de Nintendo, disponible à partir du vendredi 3 avril, se pare d’un design plus épuré, d’un écran légèrement plus grand, et de quelques gadgets. La DSI se veut plus interactive, dotée d’une caméra - de seulement 0,3 Megapixels - et d’une carte SD, pour les contenus multimédia. Elle mise aussi sur les contenus dématérialisés, avec l’ouverture d’un “store”, permettant de télécharger des applications ou des jeux.
Alors que 100 millions de DS ont été vendues dans le monde, Nintendo s’adonne, avec cette DSI, a un nouveau toilettage. Depuis la sortie du “tank” en mars 2005 en Europe, la firme japonaise a multiplié les effets de manche commerciaux : 3 modèles, et surtout, un éventail de nouveaux coloris, livré au compte goutte.
La DSi lite, comme son nom l’indique, proposait une innovation ergonomique. DSI est un correctif, destiné à asseoir son avance sur la concurrence. Les fonctions multimédia visent clairement la la Sony PSP, vendue à 46 millions d’exemplaire. Le store Dsiware, copie le système qui a fait la richesse d’Apple, sans toutefois proposer, au moment de sa sortie, une offre pléthorique, gage de succès.
Leader incontesté sur le marché des portables, Nintendo voit toutefois grandir l’offre sur les terminaux mobiles, et notamment les smartphones , dotés de capacités techniques de plus en plus élevées. Selon une récente étude, l’Iphone d’Apple compte désormais plus de 6000 applications ludiques.
Le spectre du piratage a également contribué à modeler la nouvelle mouture. La DSI est une réponse partielle à l’essor du téléchargement illégal des jeux facilité par des outils comme le R4.
Fort de sa base d’utilisateurs de portables, Nintendo va essayer, pour contrebalancer le manque à gagner du piratage, d’étendre les offres digitales payantes. Mais alors que l’interopérabilité avec le Game Boy advance a été sacrifiée sur DSi, peut-on miser sur le gamer nostalgique, pour télécharger des jeux dont-il dispose déjà les cartouches ?
Tentant non ?
Article de : Laurent Checola
Alors que 100 millions de DS ont été vendues dans le monde, Nintendo s’adonne, avec cette DSI, a un nouveau toilettage. Depuis la sortie du “tank” en mars 2005 en Europe, la firme japonaise a multiplié les effets de manche commerciaux : 3 modèles, et surtout, un éventail de nouveaux coloris, livré au compte goutte.
La DSi lite, comme son nom l’indique, proposait une innovation ergonomique. DSI est un correctif, destiné à asseoir son avance sur la concurrence. Les fonctions multimédia visent clairement la la Sony PSP, vendue à 46 millions d’exemplaire. Le store Dsiware, copie le système qui a fait la richesse d’Apple, sans toutefois proposer, au moment de sa sortie, une offre pléthorique, gage de succès.
Leader incontesté sur le marché des portables, Nintendo voit toutefois grandir l’offre sur les terminaux mobiles, et notamment les smartphones , dotés de capacités techniques de plus en plus élevées. Selon une récente étude, l’Iphone d’Apple compte désormais plus de 6000 applications ludiques.
Le spectre du piratage a également contribué à modeler la nouvelle mouture. La DSI est une réponse partielle à l’essor du téléchargement illégal des jeux facilité par des outils comme le R4.
Fort de sa base d’utilisateurs de portables, Nintendo va essayer, pour contrebalancer le manque à gagner du piratage, d’étendre les offres digitales payantes. Mais alors que l’interopérabilité avec le Game Boy advance a été sacrifiée sur DSi, peut-on miser sur le gamer nostalgique, pour télécharger des jeux dont-il dispose déjà les cartouches ?
Tentant non ?
Article de : Laurent Checola
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|